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Bonjour à tous !
La viande blanche est souvent un peu fade....
avec cette recette vous serez surpris du côté gouteux de ce plat.
Je vous laisse apprécier ...
LES ESCALOPES EN PORTE-FEUILLE
Prévoir ..... - 2 grandes escalopes de dinde fines (ou de veau selon votre budget)
- du poivre noir
- 4 minces tranches de bacon
- des feuilles de sauge
- 2 tranches de fromage raclette ou st nectaire
- des bâtonnets de bois -
Bien aplatir les escalopes à la main (ou au rouleau), les poivrer légèrement.
Poser sur chaque escalope 2 tranches de bacon, 1 tranche de fromage et la sauge.
Plier les escalopes et les maintenir fermées avec 2 bâtonnets (comme sur la photo).
Faire fondre du beurre dans une poêle, saisir les escalopes 2 à 3 mn sur chaque face.
Les servir bien chaudes accompagnées d'une salade verte.
Bon Appétit, les amis !
Le petit plus ...
Si vous désirez les servir avec des nouilles, des pommes de terre vapeur ou une purée ...
déglacer le fond de viande avec du vin blanc sec, porter à ébullition environ 2 mn à feu vif,
ensuite incorporer au fouet quelques copeaux de beurre très froid à la sauce.
Assaisonner et verser sur les escalopes réservées au chaud .
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Malgré les gelées matinales de ces derniers temps,
le jardin fait des efforts pour nous régaler de belles floraisons
même si beaucoup sont en retard ...
Mon préféré en ce moment ... cet arbuste tout de blanc vêtu ...
LA SPIREE
Puis le MAHONIA
Le fruitier ...
PRUNIER
Et peu à peu les parterres s'illuminent avec ...
Les GIROFLEES
Les PENSEES
Les PERVENCHES
Les dernières PRIMEVERES qui se cachent sous le romarin
Rencontres au jardin ...
Après les mésanges et les rouges gorges qui nous ont rendu visite au long de l'hiver ..
Ramiers et corvidés s'offrent notre pelouse à la recherche de pitances..
Les PIGEONS
et ....
Les CHOUCAS
Et voilà les amis, mon petit tour au jardin est terminé,
de quoi passer une belle journée !
(création glanée sur le net)
A DEMAIN !
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Bonjour mes amis,
J'espère que votre week end vous a été agréable ,
La météo nous a gâtés par chez nous avec un beau soleil après des journées bien frileuses
et çà fait énormément de bien au moral ...
En ce début de semaine, l'histoire que je partage avec vous ...
me fait souvenir d'une poulette espiègle
qui faisait avec les canards et les oies
le bonheur de notre basse-cour d'antan et
qui prenait un malin plaisir à fuguer dans le bois près de chez nous.
Elle revenait quelques temps après suivie de ses poussins,
alors que l'on l'avions chercher bien longtemps en vain.
Il est arrivé que , certains jours, nous ne trouvions pas ses œufs ,
et par la suite nous en avons découvert onze dans le creux de la haie de troènes
qui bordait le verger (pas tout frais je vous l'accorde) ...
Je vous le disais "espiègle" la poulette !
Jean-Claude Guillemet, auteur de cette tranche de vie campagnarde qu'il nous conte,
aime la nature, il sait observer et ... raconter ...
"ROGETTE"
Au début, nous l'appelons Roger, croyant qu'il deviendrait un coq
mais quand "il" a commencé à pondre,
il a bien fallu nous rendre à l'évidence sur nos qualités de sexeurs ... et féminiser son nom.
Rogette était une poule naine, née dans une couveuse de ma fabrication
puis élevée dans une poussinière au coin de la cheminée.
Elle a toujours cru que nous étions ses parents ;
aussi a-t-elle toujours eu de drôles de manières pour une poule.
Voleter sur la table pour finir le repas de famille,
tirer sur les lacets des visiteurs,
inspecter les étagères de la maison comme les chats,
elle avait même appris à nager sous les directives de ma fille mais là ce n'était pas volontaire
et la fessée que la maîtresse nageuse avait reçue avait coupé court
à la transformation en poule d'eau de Rogette.
Un matin, Rogette a disparu !
Après des recherches, des appels, des pleurs, nous l'avions retrouvée en train de couver
dans la grange sur le haut d'un vieux buffet qui servait à stocker les revues.
Après la naissance de ses petits, elle était devenue une mère fort convenable,
arpentant tout le jour le pré avec sa nichée, mais parfois la nostalgie de son enfance la reprenait et
elle rentrait dans la maison laissant ses petits en bas des marches "pioupioutant"
désespérément jusqu'à ce que son instinct de galine l'emporte sur celui de poule de maison.
Il y a toujours eu des Rogettes à la maison car sur les nichées qu'elle nous a produit,
il y avait bien souvent un ou deux poussins qui étaient sa réplique mais plus sauvage
car l'imprégnation humaine ne se transmet pas.
La vraie Rogette est morte, victime de sa confiance dans les humains.
Un imbécile a laissé divaguer son chien de chasse qui a dû la prendre pour une perdrix
et malgré tous mes soins, sa petite âme de poule est partie rejoindre
celle de Hollywood, Sirus, Pataplume ;
toutes poules de compagnie qui sont parties une à une dans le ventre du renard ou
des chiens errants parce que justement elles ne se prenaient pas pour des poules ...
(source : Almanach Rustica 1988")
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