Que cette année vous soit douce mes amis,

Qu'elle vous garde en santé et vous apporte bonheur, sérénité et prospérité ! 

Un extrait du texte de Jacques Brel

 en 1968 à la radio "Europe1" pour la nouvelle année.

que je souhaite vous faire apprécier ...

 

"... Le seul fait de rêver est déjà très important.

Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques-uns.

Je vous souhaite d'aimer ce qu'il faut aimer et d'oublier ce qu'il faut oublier.

Je vous souhaite des passions, je vous souhaite des silences.

Je vous souhaite des chants d'oiseaux au réveil, des rires d'enfants.

Je vous souhaite de résister à l'enlisement, à l'indifférence, aux vertus négatives de notre époque.

Je vous souhaite enfin de ne jamais renoncer à la recherche, à l’aventure, à la vie, à l’amour, car la vie est une magnifique aventure et nul de raisonnable ne doit y renoncer sans livrer une rude bataille. 

Je vous souhaite surtout d'être vous."

                                                                                                                                       (Jacques Brel) 

Au plaisir de vous retrouver pour de nouvelles aventures ! 

Bonjour mes amis,

Avez-vous passé un heureux Noël ?

 Noël passé, filons vers l'An nouveau ...

 

Un rituel à la nouvelle année …

Un bouquet, orné d'un ruban rouge,

de cette  plante "porte-bonheur" qui décore la maison

et sous lequel on s'embrasse  en synonyme d'étrennes .…. 

 

Le gui

 

Dès les temps des druides gaulois, il était une plante magique,

car il avait le pouvoir, croyaient-ils, de maintenir en vie, l'hiver, l'arbre qui l'accueillait.

Cette plante est depuis longtemps l'une des décorations traditionnelles des fêtes de fin d'année !

 

Je vous confie ce que j'ai lu dans le livret "le langage des fleurs" de Pamela Todd

... Que le seul endroit où le gui n'est pas autorisé est l'intérieur des églises  en raison de son origine païenne.

Et pourtant, toutes les associations récentes du gui ont un rapport avec la paix et la bonne volonté ;

et comme il représente la véritable vertu chrétienne qu'est la capacité de "surmonter les obstacles"

dans le langage des fleurs, peut-être l'Eglise devrait-elle penser à le réhabiliter.

 

  

Ceci dit ... le gui est  qualifié de parasite, car il pousse sur un corps étranger.

C'est un peu comme une tique qui a décidé de s'installer sur le dos du chien.

 

Le gui, lui, se plaît sur les branches de certains arbres comme le peuplier, le pommier, le saule, l'amandier,

le tilleul et beaucoup plus rarement sur les chênes :

on ne compte pas plus de 15 espèces de "chênes à gui" en France.

 

Le gui a des petits suçoirs, ressemblant à des mini griffes,

qui le maintiennent bien accroché à la branche.

C'est aussi avec ses suçoirs que le gui puise la sève de l'autre pour se nourrir.

 

Le gui, n'ayant pas de racines, il est incapable de puiser l'eau dans la terre et les sels minéraux nécessaires

à sa croissance, il vit au crochet d'autres végétaux, se contentant du peu qu'on lui donne.

Les arbres gardent le maximum de sève pour leur croissance.

Du soleil et la sève du "copain" lui suffisent pour grandir à son rythme, soit 60 cm de diamètre en 25 ans.

 

Le gui produit chaque année des milliers de petites baies translucides et collantes.

La plupart d'entre elles servent de nourriture aux oiseaux : fauvettes, grives et pigeons en raffolent. 

 

Mais attention, elles sont toxiques pour les humains !

 

Une fois passées dans l'estomac des oiseaux gourmands, quelques graines ont la chance de se retrouver

au milieu des fientes et d'être ainsi projetées en vol sur un nouvel arbre.

Là, elles restent collées grâce à la viscosité de leur pulpe protectrice ;

elles ont planté leur jeune suçoir dans l'écorce tendre de leur nouvel hôte.

Une nouvelle touffe de gui a commencé sa vie ...

 

 

A savoir :

Le gui n'est pas parasite de l'arbre à 100%. Bien sûr, il lui soutire de l'eau et des sels minéraux,

mais il possède sa propre chlorophylle et peut donc synthétiser ses propres sucres, protéines, ect …

Il n'est donc pas totalement dépendant de son hôte.

En cas de sécheresse forte, il n'arrive pas à soutirer assez d'eau à l'arbre

et meurt souvent, alors que son hôte qui lui, survit.

Cependant, il diminue la qualité du bois et, sur les pommiers, par exemple, les récoltes de fruits. 

 

 

Noël approche,

Partons, ce week end, sur les traces du Père noël  ...

 

Le 24 décembre, le Père Noël quitte son chalet du pôle Nord pour entamer un long voyage autour du monde.

Il prend tout d'abord la direction du sud et survole l'océan Arctique avant de parvenir à l'océan Pacifique

où il s'arrête en Polynésie, en Nouvelle-Zélande ….

  

Ici commence sa tournée puisque l'Océanie est le premier continent

à fêter Noël compte tenu de sa position à l'est du globe.

A partir de là, le Pére Noël suit une trajectoire en zigzag du nord au sud et inversement

en se dirigeant rapidement vers l'ouest et en gardant toujours une longueur d'avance sur l'aube.

 

 

Ainsi au moment où il passe à Paris les enfants australiens ont déjà ouvert leurs présents et s'apprêtent à dîner. 

Quand il distribue ses cadeaux à Montréal au Canada, c'est l'heure du déjeuner à Rome en Italie.

Bien évidemment, on réalise que le Père Noël ne pourrait parcourir une telle distance sans la magie,

ni le chronomètre à bulles !

Une chance pour tous les enfants du monde !

 

Les rennes préférant la fraîcheur, le Père Noël n'hésite pas lorsqu'ils traversent des pays chauds comme l'Inde

ou le Brésil, à les faire voler à haute altitude où l'air est plus froid.

  

Le sympathique vieillard ne se perd jamais car, pour le guider,

il se sert de points de repère comme les montagnes de l'Himalaya, le majestueux fleuve Amazone

ou la Grande muraille de Chine. En général,

il amorce une descente rapide pour déposer ses paquets le plus vite possible. 

 

 

 

Dans les contrées les plus froides, il emmène son équipage à basse altitude et se sert de constructions

hautes comme la tour Eiffel, l'Empire State Building ou Big Ben pour se diriger. 

Il arrive parfois qu'il se hasarde encore plus bas lorsque le brouillard ou

une neige abondante l'empêchent de distinguer la route ...

Mais il ne court pas le risque d'être repéré car sa toile d'invisibilité

et sa poudre magique le protègent des regards indiscrets.

 

Selon la légende, le Père Noël pénètre dans les maisons par la cheminée …

mais n'ayez pas d'inquiétude les enfants si la vôtre en est dépourvue...

Quelques pincées de poudre de fée et il rapetisse suffisamment pour passer sous la porte

ou par le trou de la serrure si nécessaire.

Jamais il ne l'avouera mais il en utilise également pour se glisser dans les conduits étroits de cheminée …

Alors un peu plus, un peu moins ...

Le Père Noël préfère rendre visite aux enfants lorsqu'ils sont profondément endormis.

 

 Extrait …..  issu de ce livre de toute beauté

auquel petits et grands ne resteront pas insensibles ...

"Le Père Noël et son merveilleux monde magique"

"aux éditions Quatre Fleuves" 

 

A l'intérieur de ce "bijou" vous découvrirez de magnifiques illustrations et ...

vous saurez tout sur le pays du Père Noël avec ses aurores  boréales  et ses animaux du pôle nord…

les lutins, la maison et la tenue magique du Père Noël, la Mère Noël,

le bureau de poste, l'atelier , les apparitions et les biscuits de Noël….  

"Les histoires qu'on lit tout petit nous accompagnent toute la vie" !